Sandra Duharcourt et Katja Wassmann élues membres de l'EMBO
Le 4 juillet 2023, 69 scientifiques de renom ont été élus membre de l'European Molecular Biology Organization (EMBO), en reconnaissance de leurs remarquables réalisations dans le domaine des sciences de la vie.
Cinq biologistes du CNRS figurent parmi les personnalités distinguées dont Sandra Duharcourt et Katja Wassmann, Directrices de recherche CNRS à l'Institut Jacques Monod (CNRS/Université Paris Cité).
La tradition de l'EMBO de reconnaître en tant que membre des biologistes de renom remonte à 1963, lorsqu'un premier groupe de 150 membres a été sélectionné par le Conseil de l'EMBO. Depuis lors, les membres de l'EMBO ont été invités à nommer et à élire des scientifiques exceptionnels pour rejoindre la communauté, qui compte aujourd'hui plus de 2 000 membres et membres associés. Les élections des membres de l'EMBO ont lieu chaque année. Les nouveaux membres de l'EMBO rejoignent une liste de scientifiques de renom élus avant eux, qui comprend 91 lauréates et lauréats du prix Nobel.
Programmed genome elimination in Paramecium

Institut Jacques Monod
CNRS/Université Paris Cité
Our team studies the remarkable process of small-RNA-guided DNA elimination that occurs during development in the eukaryote Paramecium, in which at least a third of the genome is reproducibly removed. Our efforts aim to understand the mechanisms that control these events, as well as the evolutionary trajectories of the eliminated sequences. Our approach combines molecular and cellular genetics, biochemistry and large-scale genomic strategies.
Mechanisms of oocyte meiosis
Katja Wassmann
Institut Jacques Monod
CNRS/Université Paris Cité
Projects in my group aim at dissecting the molecular mechanisms underlying the two meiotic divisions to generate haploid gametes, with a focus on female meiosis to generate oocytes of the correct ploidy. The central question we study deals with the issue of how meiosis I-specific events are executed only in meiosis I, and those of meiosis II only in meiosis II, using mouse and X. laevis oocytes, as well as budding yeast as our main model systems.