La persistance de cellules mémoires B résistantes au rituximab contribue aux rechutes des patients adultes atteints de thrombopénie immunologique

Résultats scientifiques

Des équipes du Pr Jean-Claude Weill et du Dr Claude-Agnès Reynaud au sein de l’INEM - Institut Necker-Enfants Malades (Inserm/CNRS/Université de Paris) notamment, ont étudié la présence de lymphocytes B mémoires auto réactifs avant et après traitement par rituximab de patients adultes atteints de thrombopénie immunologique (PTI), une maladie auto-immune rare. Les résultats de cette étude montrent notamment qu’une fraction des lymphocytes B mémoires auto-réactifs envers les antigènes plaquettaires résiste au traitement par rituximab, persiste dans la rate pendant plusieurs mois et participe aux rechutes. La découverte de ces cellules pourrait ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques.

Lire l'article